Déclaration de CE DRRP du 31 janvier 2018
Découvrez notre déclaration lors du CE du 31 janvier 2018....
Madame,
Comme chaque année, la CFDT a présenté ses meilleurs vœux de bonheur, de santé et de prospérité pour 2018 à l’ensemble des salariés.
Mais ce que nous souhaitons surtout aux salariés de notre réseau c’est d’être mieux écoutés, entendus, compris, reconnus et récompensés.
Pour cela, il faudra que la Direction, représentée par vous, acceptiez d’ouvrir vos yeux et vos oreilles aux difficultés et au mal-être des salariés du réseau.
Il faudra notamment que vous arrêtiez de nous demander de vous faire remonter les cas individuels quand le problème est aujourd’hui tellement général et connu que la presse s’en est emparée pour tirer le signal d’alarme à votre place.
Devant l’ignorance de la réalité, feinte ou involontaire, n‘en demeure pas moins inacceptable et ce d’autant qu’elle a fortement contribué à transformer cette instance au cours des deux dernières années en chambre d’enregistrement et en réunion de délégués du personnel.
Nous vous rappelons qu’ignorer, ce n’est pas seulement ne pas connaître et ne pas savoir, c’est aussi traiter quelqu’un comme si sa personne ne méritait aucune considération.
Nous vous demandons de changer votre fusil d’épaule et faire en sorte que la partie H de votre fonction dépasse celle de la partie G en cette année de grande transformation de notre réseau.
Tandis que la banque salue toujours au travers de son GPS « un engagement toujours très élevé et stable dans le temps, une confiance renforcée dans l’avenir du groupe, un code de conduite et le BNP Paribas way désormais bien connus et bien intégrés, un client toujours au cœur des préoccupations avec une qualité de service aux clients et des produits et services challengés, une relative stabilité de l’efficacité professionnelle avec une vigilance sur les processus et la rapidité de décision et un management de proximité toujours très apprécié sous tous ses aspects,
La presse évoque quant-à-elle des « Managers au bord de la crise », des « salariés des banques sous haute pression et malades de leur travail ».
Lire la suite sur le PDF ci-dessous
