Egalité Hommes/Femmes, dispositif commercial Pyrénés Océan, dispositif commercial La Rochelle Porte d'Aquitaine, dispositif commercial bordeaux Métropole...
RAPPORT EGALITE PROFESSIONNELLE : AVIS DEFAVORABLE
Les lignes ne bougent pas ou bien trop faiblement, ceci malgré les engagements de la Direction. Bien que plus nombreuses, seulement 40% des femmes sont cadres, constat désolant !
Dautant plus quen DRSO, le taux de femmes cadres, bien quen très légère progression, se situe en retrait par rapport à BNPP SA. Le taux de promotion des femmes cadres est en retrait de 2.20% sur un an.
Pour les promotions même constat tant pour les hommes que pour les femmes, taux en retrait par rapport à BNPPSA 7,66%pour les femmes DRSO contre 13,73 pour BNPPSA et 7,10% pour les hommes versus 10,30% chez BNPPSA
Pour les techniciens la DRSO avec 11,74% de promus est en retrait par rapport à BNPPSA qui affiche 12,20%
Les collègues techniciennes ont , elles, un taux de promotion supérieur à BNPP à 16,77% contre 13,73%.
Nous déplorons toujours un taux de femmes DIE très faible : 5 femmes pour 36 hommes et pour 2015 aucune femme DIG en DRSO et très peu dans les états-majors des groupes.
Enfin, même constat que les années précédentes sur la rémunération variable, le montant perçu par les femmes est en retrait dans tous les échelons (sauf un) par rapport à celui des hommes.
ADAPTATION DU DISPOSITIF COMMERCIAL PYRENEES OCEAN : AVIS DEFAVORABLE
Au total, ce sont donc 10,8 ETP qui sont supprimés avec ces 4 fermetures de St Martin de Seignanx, Ciboure, St Paul les Dax et Pau Mermoz et ces 2 équipes partagées entre St Palais et St Jean Pied de Port et entre St Vincent de Tyrosse et Soustons.
Dans le cadre du plan triennal de la DRSO et comme nous lavons déjà fait pour les projets dautres groupes, nous pourrions donner des avis pour chacun des 6 projets, nous ferons une exception pour ce dossier en ne délivrant quun seul avis car il sera unanime.
Quelle entreprise peut se permettre de fermer des points de vente avec daussi beaux chiffres daffaires (4409 K) et ainsi rentables (773 K) ?
Nous avons écouté les différents arguments suivants : rationalisation du dispositif, proximité dautres points de vente, vétusté des locaux, faibles perspectives de développement ..mais nous ne les entendons pas .
En effet, outre les risques de déperdition de PNB, les risques routiers pour les équipes partagées et là aussi, très surement, une baisse du chiffre daffaires, nous ne pouvons concevoir la cohérence de ces adaptations au moment même où lon nous explique que BDDF connaît quelques difficultés.
Un célèbre adage stipule : « scier la branche sur laquelle on est assis », nous ne pouvons mieux définir notre sentiment en ces pénibles moments. Dautres sentiments prédominent telle lincompréhension ou la stupeur sans parler dangoisse pour lavenir des salariés.